Une réhabilitation très récente de cette parcelle montreuilloise a complétement modifié l'aspect du mur extérieur donnant sur la rue et son enseigne peinte. Le passage d'un mur de clôture plein (pour voir l'état antérieur, c'est chez les murs peints de Philippe), à un mur ouvert ne s'est pas fait sans dégâts alors qu'il aurait été possible au moment du percement des ouvertures d'intégrer les lettres disparues sur les menuiseries et vitrages. Une occasion manquée de faire perdurer ces éléments fragiles et témoins du passé industriel de la ville.
Montreuil, 54 rue Robespierre, 19 septembre 2016.
Quel gâchis... c'est vraiment dommage !
RépondreSupprimerLes boulets ne sont pas que sur la façade !
Cela est d'autant plus surprenant que Montreuil se distingue habituellement pour de belles réhabilitations et intégrations du patrimoine industriel...
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