(Blue)

Une enigme peinte ludoise, toujours comme ses consoeurs, située sur la D 307. Difficile de déceler des lettres qui puissent aiguiller sur une piste. Du bleu comme pour une Dubonnet ? L'espace est trop court... Le diffuseur est Avenir Publicité. Et quelques lettres sont visibles en bas à gauche.

Le Lude (D 307), 28 décembre 2013.

(Cheval)

Une petite tête de cheval émerge de la façade de cette maison au centre du bourg du Lude. Il s'agissait d'un commerce de chevaux - achat, vente, échanges-. Le cercle dessiné autour de la tête du cheval mentionne "Télé 40". Aucun idée de ce que cela pouvait signifier.

Le Lude, 21 boulevard Fisson (D 307), 31 décembre 2015.

(Y'a tout ce qu'il faut)

Entreprise sarthoise d'électricité et de chauffage fondée en 1967 à Aubigné-Racan, Pasteau a misé sur les publicités peintes dès le début. On retrouve donc naturellement du "Pasteau" sur les routes voisines de la ville d'Aubigné, à Coulongé (pour la première série de photo) et à l'entrée du Lude (pour la seconde série). Un beau lettrage de la fin des sixties pour le nom de l'entreprise tout en rondeur et en couleurs.

Coulongé, D 307, 31 décembre 2015, Le Lude, D 307, 28 décembre 2013.

(Usée)

 Bientôt, elle ne sera plus qu'un souvenir cette Suze ludoise.

Le Lude, avenue de la Libération, 27 décembre 2014.

(Double Dubonnet)

Une grande Dubonnet avec la mention "Vin tonique au quinquina" recouvrait autrefois la longue façade de cette maison située à l'angle de l'avenue de la Libération. Elle a été recouverte par une autre Dubonnet, plus ramassée dont les bleus sont toujours bien vifs. Dernière étape de la colonisation de ce mur, un panneau publicitaire en fin de vie si l'on en juge par la publicité qui le recouvre, datant de janvier...

Le Lude, angle de l'avenue de la Libération, 9 juillet 2014.

(Deux roues)

Une ancienne devanture et une publicité peinte, voici tout ce qu'il reste du commerce de Ch. Proust établi au Lude.

 Le Lude, 28 décembre 2013.

(Forvil)

Tout comme cette Forvil, présentée il y a peu, celle-ci, en moins bon état, a la particularité d'avoir conservé son buteau "Service Publicité Forvil" inséré, en bas à gauche, dans le chaînage harpé de cette maison ludoise.

Le Lude, 28 décembre 2013.

(Semences)

Enseigne connue de tous les jardiniers, l'histoire de Vilmorin commence en 1743 quai de la Mégisserie à Paris avec Claude Geoffroy, maîtresse grainière et Pierre Andrieux, botaniste. Leur fille épouse Philippe de Vilmorin en 1774 et la maison prend alors le nom de Vilmorin-Andrieux. Le magasin existe toujours au même endroit, et quelques enseignes ont fleuri un peu partout en France. Celle du Lude est la première recensée sur ce blog.

Le Lude, rue du Champ de Foire, 27 et 28 décembre 2013.