vendredi 31 octobre 2014

(Apéritive)

Je ne sais pourquoi les Dubonnet du sud de la France ont toujours un petit air plus pimpant que celles du nord. Un je-ne-sais-quoi purement subjectif qui donne envie de s'installer en terrasse et de profiter. Celle-ci est aveyronnaise, un peu passée, mais quelle force visuelle, même à demie effacée !
Najac, octobre 2014. Par Thibault.
Merci !

jeudi 30 octobre 2014

(Pour enfants)

Spécialisée dans le travail du bois, la maison Fossé-Loiseau s'est notamment fait un nom dans la fabrication de fauteuils d'enfants, parcs, fauteuils promenoirs (l'ancêtre des trotteurs), ou chaises hautes. Plus surprenant, elle a également réalisé des plats à couscous…! L'entreprise existe toujours et fabrique des palettes de manutention.
Autre enseigne dédiée aux enfants, "la Petite Jeannette", magasin situé à Autun et qui fit réaliser plusieurs enseignes peintes dans les environs.

 Maison Fossé-Loiseau à Avesnes-sur-Helpe, par Thibault.
Vêtements "la Petite Jeannette" à Autun, par Jean-Christophe.



mercredi 29 octobre 2014

(Remisée)

La boucherie-charcuterie Dumazeau, avec sa jolie devanture en petits carreaux mosaïque, n'est plus, remisée en garage. L'harmonie de l'ensemble est néanmoins conservée avec ce vert pomme qui (re)donne à l'ensemble un aspect pimpant.
Bort-les-Orgues, rue Ledru-Rollin, octobre 2014.
Par Thibault.

samedi 25 octobre 2014

(Dédicace)

Aujourd'hui, dédicace des ouvrages de Marc Combier "Les Publicités peintes de nos Nationales" à la librairie ETAI, la passion de l'automobile, 83 rue de Rennes à Paris (métro Saint-Sulpice) entre 15h et 18h.
J'y passerai !

vendredi 17 octobre 2014

(Carnet rose)

Une cigogne est venue déposer, dimanche 12 octobre, à Paris, en début d'après-midi, un joli paquet.
Tout le monde va bien et on se remet tout doucement de nos émotions.
A bientôt,
Clio

vendredi 10 octobre 2014

(Disparition)

Il y a quelque temps déjà je vous parlais ici de ce grand mur, peint et réalisé à l'entrée est de Cinq-Mars-la-Pile. 
Deux publicités pour une très grande surface idéalement placée : une gigantesque Saint-Raphaël surmontée de son macaron aux deux serveurs, et une plus modeste, mais non moins intéressante, par la vivacité de ses couleurs, Bénédictine. 
Ce mur vient de disparaître dans la construction d'une maison et les surfaces encore visibles du mur ont été piquetées pour un rendu plus net de la façade de cette bâtisse tourangelle de caractère au bord de l'ancienne nationale 152.
Si ce blog va permettre d'en garder la trace, ces disparitions m'interpellent toujours. A quelques kilomètres de là, la même mésaventure est arrivée à un mur peint Energic, tandis qu'un des murs peints voisins se voyait préserver par on ne sait quel miracle.
Il y a bien donc autant de prises de décisions sur la conservation ou la disparition de ces murs qu'il y a de propriétaires. Et si bien sûr on ne peut contraindre ces derniers à abandonner un projet immobilier pour une publicité peinte, on pourrait imaginer que les services des villes qui instruisent les permis de construire soient sensibilisés et conscients de l'intérêt patrimonial, de mémoire, voire de l'intérêt artistique -pour certaines d'entre elles -de ces oeuvres. 
Cette nouvelle disparition me fait poser plusieurs questions. La première sur le glissement progressif du message délivré à la vue d'un mur peint qui contribue grandement à s'en détacher. Que voit-on ? Un mur défraîchi ? Une oeuvre patinée par le temps ? Un message publicitaire parmi d'autres ? La seconde question est celle du statut de la publicité peinte. A qui appartient elle. A tous, car visible de la voie publique ou au(x) seul(s) propriétaires du mur support ? Enfin, la question de la législation ou du moins d'aides à la protection et à la valorisation me semble récurrente. Que peut on défendre à travers ces murs : la patte d'un peintre, une création originale -même si elle est déclinée en séries-, un savoir-faire qui tend à disparaître, la préservation d'une marque disparue ? L'aspect patrimonial et de mémoire peut il cohabiter ou supplanter l'intérêt privé ? Le débat est ouvert !

Merci à P & M pour la dernière photo.

jeudi 9 octobre 2014

(Café Ballu)

Dernier vestige du café-tabac Ballu... son enseigne !
Sainte-Gemmes-sur-Loire, rue de la Poste, 5 octobre 2014. Par P & M.

mardi 7 octobre 2014

(Penchée)

Le O penché de cette Dubonnet angevine semble être une fantaisie du peintre en lettres. On la retrouve notamment sur deux autres pubs du même cru en Indre-et-Loire (ici et ) sans que cette mise en scène ne soit pour autant automatique.
Les-Ponts-de-Cé, 5 octobre 2014, par P & M. 

dimanche 5 octobre 2014

(En gros)

En juin dernier j'accueillais Martie sur ce blog et de nouveaux murs pris dans le Vexin. Voici une contribution isarienne, située rue de Chantilly, pour un ancien commerce de boissons en gros : eaux minérales, bières et cidres (point de vins, nous sommes en Picardie !). L'ensemble est peint sur une façade appareillée en gros moellons de pierre de Saint-Maximin.
Rue de Chantilly, juin 2014. Par Martie.

samedi 4 octobre 2014

(La Maison de l'Agriculteur)

Une devanture avec enseigne en bois peint invite à découvrir la Maison de l'Agriculteur abritant un café mais aussi une boutique avec tout le nécessaire pour l'agriculteur donc -mais pas que- matériaux de construction, charbon, aliment pour bétail et engrais.  
Une belle prise de Jean-Christophe B. Merci !