Saint-Maximin, dans l'Oise, est plutôt connu pour ses carrières de pierre. La ville a été bombardée pendant la Seconde Guerre mondiale par les Alliés qui visaient les carrières voisines de Saint-Leu-d'Esserent où étaient entreposées les bombes volantes allemandes les V1.
Cette maison, située dans la rue principale, a été reconstruite partiellement après la guerre. Elle présente une devanture en bois dont il me semble encore distinguer dans la partie haute quelques lettres du mot Blanchisserie. L'enseigne "Blanchisserie Blandine Teinturerie" à la typo très sixties est plus récente. A noter également sur la gauche de la première photo une plaque émaillée signalant un passage piéton.
Cette maison appartenait à M. Bruiet. Artisan électricien de la commune, qui a été la maître d'apprentissage de mon mari (1958). C'est devenu la propriété de Saint-Maximin. Avant la blanchisserie le local était un café tenu par Mme Lucienne Bruiet, mère de l'artisan.
RépondreSupprimerVotre blog est très intéressant
Evelyne