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dimanche 1 février 2015

(Cadoricin)

Je vous parlais hier de la disparition d'une Cadoricin parisienne : dans le même arrondissement se trouve une autre Cadoricin. Et si la pub vante un shampoing brillant, l'héberge peinte n'a, elle, plus rien d'éblouissante !
 Paris 20e, rue Stendhal, 18 novembre 2014


samedi 31 janvier 2015

(Disparition)

Un nouveau grand mur peint parisien vient de disparaître. Présenté en mars 2013 dans cet article (beaux et sains), cette double pub Mobiloil/Cadoricin avait pris place sur le seul mur ancien de cette portion du boulevard Davout. Lors de la construction de l'immeuble attenant dans les années 1960-1970, toute la partie droite avait été masquée et avait contribuée à révéler aux regards cette pub vintage tronquée. Aujourd'hui, si le ravalement impéccable a effacé les vestiges de ces pubs, la pierre laisse encore suinter les fantômes de la Cadoricin, de son fond rouge et du grand M de Mobiloil.
Paris, 30 janvier 2015.

lundi 30 septembre 2013

(Edit du post du 25 septembre)

Il y a quelques jours j'ai posté ici un mur peint pris à Asnières-sur-Seine et qui présentait en partie haute une première publicité commençant par CAD. Philippe et son blog très bien fourni en murs peints parisiens et franciliens, propose Cadoricin. Et il semble bien que ce soit ça ! Car lorsque l'on compare les trois premières lettres d'Asnières à celle de la porte de Bagnolet qui ironie du sort ne comprend que trois lettres en plus, on retrouve bien la même police :

samedi 23 mars 2013

(Beaux et sains)

Première apparition sur ce blog pour la marque Cadoricin très populaire dans les années 1950. Elle est représentée ici par les shampoings brillants Dulsol à l'huile. La publicité recouvre une Mobiloil plus ancienne dont les premières lettres sont bien lisibles. Les deux publicités ont trouvé leur place sur le pignon du 209 boulevard Davout, seul immeuble ancien de cette portion de rue. Les pierres d'attente témoignent d'une volonté de construction dans sa continuité. Mais c'est un immeuble plus moderne qui aura eu raison de son unité. En adoptant l'usage répandu dans les années 1960 et 1970 de bâtir très en retrait de la rue, pour pouvoir gagner en hauteur, les architectes ont conduit à l'affirmation visuelle de cet immense pignon et paradoxalement à la disparition d'une partie de son message. 


Paris, 209 boulevard Davout, 23 mars 2013.